L’histogramme représente le nombre de points de l’image en fonction de leur valeur (qui va de 0/noir à 255/blanc). C’est à dire que plus le nombre de pixels ayant une valeur égale au nombre en abscisse est grand, plus la colonne sera haute.
L’histogramme permet de vérifier que la photo est correctement exposée c-à-d que la courbe d’exposition n’est tronquée ni à droite (hautes lumières) ni à gauche (basses lumières).
Il est possible de visualiser l’histogramme sur l’écran de contrôle de l’appareil et, parfois, de faire apparaitre en sur-brillance ou de façon colorées les zones irrécupérables c-à-d étant composée de 100% de blanc ou de noir. Cette façon de procéder est infiniment plus fiable que de se fier à la photo elle-même apparaissant sur l’écran de contrôle de votre appareil.
Exposer à droite ou pour les hautes lumières ?
La qualité des capteurs et des logiciels de traitement permettent de récupérer les zones d’ombre en limitant jusqu’à un certain point le bruit.
Il est donc intéressant d’exposer « pour les hautes lumières » c-à-d de faire en sort que les zones claires de la photo ne soient pas brûlées (100% de luminosité). Il faut caler l’histogramme le plus possible à droite tout en vérifiant qu’il n’y a pas d’écrétage des hautes lumières c-à-d que l’histogramme ne soit pas coupé à droite. Certains appareils permettent d’afficher en surbrillance les zones sous et sur exposées.
Plus d’information
Un excellent article sur Nikon Passion (Source : https://www.facebook.com/marc.guillaume.35).
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