Hopla 2022, Festival de Cirque
HOPLA! est un festival de cirque qui se déploie depuis 2007 sur le territoire de la Ville de Bruxelles. Initialement organisé sur une seule journée, il s’est progressivement développé.
Le festival HOPLA! a pour objectif de bâtir des ponts entre le cirque et la ville, les circassiens et les citoyens, les arts et leur public. Secteur de création en pleine effervescence, le cirque présente une richesse qui correspond bien à la réalité bruxelloise. Convivial, familial, il fédère, décloisonne les genres, les générations et les clivages sociaux. Il invite au dépassement de soi, à l’émerveillement, au respect de l’autre et à la curiosité.
En créant le festival HOPLA! en 2007, la Ville de Bruxelles s’est résolument engagée dans une politique en faveur du secteur des arts du cirque. Convaincue de l’universalité de cet art de la scène, elle a entrepris de le rendre accessible à des publics très diversifiés sur le territoire de la Ville de Bruxelles, via des collaborations avec différents acteurs culturels. Cette notion de lien est centrale au projet de HOPLA!
Ce projet de décentralisation est guidé par la volonté du festival de toucher un public qui ne se déplace pas forcément dans les salles de spectacle ou en festival. Les organisateurs ont particulièrement à cœur de transporter ces spectateurs dans des univers où la narration et l’onirisme, la performance et la précision, l’agilité et la surprise se côtoient. La diversité des genres et des techniques est privilégiée.
Source : https://www.hopla.brussels/a-propos/
Marée Noire
4 femmes se trouvent dans un futur bouleversé. Leur monde a brûlé et cette grue est là, majestueuse et survivante.
À la manière d’une marée noire qui s’échoue sur une plage, ces femmes s’accrochent à ce qu’elles peuvent. Leur passé leur colle à la peau mais elles ont un monde à laisser et un autre à refaire. Elles pouvaient être mère, ouvrière, citadine, amoureuse, immigrée ou acrobate.
Mais que sont-elles aujourd’hui ?
Dans ce décor post apocalyptique, elles questionnent leur avenir, vivantes, enragées, elles se libérent de leurs chaines, pour mieux l’imaginer.
Source : Marée noire – Hopla-cirk