Mon approche de la gestion du flux photographique

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Raw ou jpeg

Pas de doute à ce sujet. Si l’appareil est capable de le faire prenez vos photos en RAW.
Pourquoi ?
Vous avez payé pour en achetant un appareil performant.
Vous vous fichez de la place utilisée par les photos (le raw est plus gourmand) étant donné le prix des cartes et des disques.
Le raw vous permet de corriger sur et sous-expositions dans des proportions que vous n’imaginez probablement pas … Mais cela n’empêche pas d’exposer correctement vos photos.
La balance des blancs au moment de la prise de vue n’a aucune importance. Elle est utilisée par défaut mais vous la modifier sans perte de qualité.
Toute amélioration future dans le traitement des images brutes vous sera profitable. En deux ans la différence de traitement est visible grâce à l’amélioration des logiciels et du hardware.
Le jpeg est un format qui ne garde qu’une partie de l’information … Et détruit ce qu’il ne lui semble pas utile. Très bien pour affixher des images en limitant la taille mais pas pour stocker le négatif.

Impact de ce choix (raw) sur le choix du logiciel ?

Utiliser le raw oblige de se tourner vers des logiciels spécifiques.
Les logiciels les plus connus (picasa, iphoto, …) permettent de visualiser les raw mais toute modification conduit à la création d’un jpeg.
Il faut la part entre les logiciels de manipulations avancées (Photoshop, photoshop elements, …) et les logiciels permettant de gérer les flux de photos (Adobe Lightroom, dxo, aperture, …).
En partant du principe qu’il s’agit de gérer nos flux de photos nous nous intéresserons à la deuxième catégorie.
L’immense avantage de ces logiciels est qu’il sont non-destructeur c-à-d qu’ils vont stocker vos modifications à côté de la photo originale sans l’altérer. Vous pourrez la reprendre deux ans plus tard dans son état original, le négatif, pour lui appliquer un nouveau traitement, le tirage.

Quel logiciel ?

Pour moi, le meilleur choix est Adobe Lightroom 4 disponible via le site Adobe Education pour 75€. Une paille comparé au prix du matériel …

Alternative : Aperture sur Mac.

Principaux avantages :
Traitement non-destructif, qualité de traitement de l’image (réduction du bruit, correction des défauts optiques, …), gestion élaborée des données de classification, export aisé vers les services en ligne et autres, albums photos, sites web, géolocalisation, corrections avancées, presets, …

A suivre …

 

 


Commentaires

Une réponse à “Mon approche de la gestion du flux photographique”

  1. […] photos et est une réponse à quelques discussions d’un soir … L’article “Mon approche de la gestion du flux photographique” est un complément à […]

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